Poème Bonne fête maman Je t’aime pour toutes les femmes

C'est la journée de la femme:  Un petit clin d’œil en poésie pour tout ce qu'elle est..
Poème  Bonne fête à toi…maman .et à toutes les femme du monde une bonne fête, dédicace en hommage à toutes les femmes du monde.

Madame mademoiselle, la mère la sœur la fille l'épouse : raison d'être, joie de vivre, tendre ange du cœur je vs souhaite une bonne fête
 Femme notre Amour-- Lorsque vient le printemps
Je savoure la splendeur de ton charme
dans la beauté des jardins
Et je caresse la séduction de ton âme
dans la senteur des jasmins..
Lorsque viens l’été
Je réjouis des lumières de ta pureté
dans le ciel clair et beau
et j’éteins la flamme de ton amour
dans l’ombre et dans l’eau..
Lorsque vient l’automne
Je retrouve la nostalgie pour ta colère
dans la voix des orages qui résonnent
et la fidélité aujourd’hui et d’hier
dans la posture des arbres monotone
Lorsque viens l’hiver
Je caresse tes larmes de perles
dans les gouttes de pluie tombée
et je raconte ton histoire si belle
aux petits affamés aux contes de fées
Sans femme que devient l’amour ?
Un oiseau chantant les quatre saisons
Notre bonheur sans détours
Raison de vivre si la vie a raison..

Rien n’est plus précieux,

Rien n’est plus charmant,

Rien n’est plus émouvant,

Que le sourire d’une maman !

je t'aime maman

Je t’aime
Je t’aime pour toutes les femmesQue je n’ai pas connues
Je t’aime pour tout le temps
Où je n’ai pas vécu
Pour l’odeur du grand large
Et l’odeur du pain chaud
Pour la neige qui fond
Pour les premières fleurs
Pour les animaux purs
Que l’homme n’effraie pas
Je t’aime pour aimer
Je t’aime pour toutes les femmes
Que je n’aime pas

Qui me reflète sinon toi-même
Je me vois si peu
Sans toi je ne vois rien
Qu’une étendue déserte
Entre autrefois et aujourd’hui
Il y a eu toutes ces morts
Que j’ai franchies
Sur de la paille
Je n’ai pas pu percer
Le mur de mon miroir
Il m’a fallu apprendre
Mot par mot la vie
Comme on oublie

Je t’aime pour ta sagesse
Qui n’est pas la mienne
Pour la santé je t’aime
Contre tout ce qui n’est qu’illusion
Pour ce cœur immortel
Que je ne détiens pas
Que tu crois être le doute
Et tu n’es que raison
Tu es le grand soleil
Qui me monte à la tête
Quand je suis sûr de moi
Quand je suis sûr de moi

Tu es le grand soleil
Qui me monte à la tête
Quand je suis sûr de moi
Quand je suis sûr de moi

Femme, sois Femme! 

Il n'y a pas si longtemps que ça
On te disait "sois belle et tais toi"
Aujourd'hui, ta voix porte très loin
Et fait de toi cette femme
Respectable et qu'on choie
Capable de briller dans tout domaine
Aussi compétente et intelligente
Que cet homme qui te portait sous son aile, autrefois
Mais refusais de voir, qui tu es ?
Pilote de ta vie, comme cet oiseau du ciel
Solitaire dans ton envol, mais en liberté
Tu traces ta voie,
Mènes ton train de vie à en faire douter
Sans perdre ta féminité
Oh! Femme! Forte personnalité!
Douceur et pilier de l'humanité!
Pourquoi on t'a toujours sous estimé dans le passé?
Pourtant, tu avais enduré et supporté tant de supplices
Brisée, tu le savais
Mais tu as su te relever
Sans jamais en vouloir à cet homme
Ton frère, ton mari, ton ami...
Aujoud'hui, ta place est assurée
Et tu ne te laisseras plus traiter
Comme tu l'avais été dans le passé

 douleur et courage, 

Quand il pleut sur ton visage.

Et tes larmes renvoient de jolis messages. 

A ce monde géré de chantages.

Ton sourire qui doit être caché et sage. 

Tes joies que tu dois délaisser ou ajourner. 

Toutes ces grâces que l’on te pend en otage.

Ton silence épié et interpelé. 

Ton aparté mis en garde et préjugé. 

Et parce que l’on m’a puni d’être homme.

Avec mes vires de petits mômes. 

Mes « non » infondés et sans préavis. 

Mes serments inventés puis remis. 

Mes bévues appuyées de mauvais cris.

Ces vices que l’on m’a toujours gavés. 

Parce que l’on m’a puni d’être homme.

Pardon notre chère Eva.

Tes répliques vues impardonnables.

Et tes ‘ non’ souvent jugés bancals

Tes rêves sassés puis mis à exil.

Cette liberté que les débiles spolient. 

A ton cœur fin, généreux et béni. 

Parce que l’on m’a puni d’être homme.

Mes erreurs et mes désirs infâmes.

En bâtissant ma victoire sur ta peur et du sable

En allant, tyran, te crier au visage.

Mes sourires renards aux temps de l’animal.

Ma démission aux temps les plus noirs.

Parce que l’on m’a puni d’être homme.

En me bourrant d’ignobles dogmes

Pardon notre chère Eva.

Orpheline de père avant sa naissance 

Et parce que temple de toutes les délivrances.

Que l’on fait de toi douleurs et souffrances.

Et que l’on m’a puni d’être homme.

Cruel que je suis, ingrat et infâme. 

Me voici navré devant tous ces drames 

Venu jeter ce manteau de poils.

Que le temps des sourds et aveugles

M’a légué au cœur de la jungle. 

Te demander milles et un pardons. 

Toi la sœur, la compagne et la maman.

Univers de l’amour et le refuge clément.

Me voici revenu la peau neuve et humaine. 

Et l’âme angélique du premier ADAM.

Reconnaître chère Eva et saluer ton âme.

Bonne fête  à toutes les femme du monde 

Aucun événement particulier à célébrer aujourd'hui. sauf toi maman

Pas de nouvelle sensationnelle à t'annoncer.

Non, il ne se passe rien de vraiment important dans ma vie

que tu ne saches pas déjà sur le bout des doigts,

si ce n'est que je pense affectueusement à toi... et encore plus souvent que tu ne le crois.

Bonne fête à toi…maman .et à toutes les femme du monde une bonne fête 

Tel un ange maman dans la nuit,

J'aimerais que tu guides ma vie,

Il est encore trop tôt pour avouer

Tout l'effet que tu produis sur moi

Cependant, sans jamais t'avoir rencontré

Je pense sans cesse à toi.

J'ai essayé de me raisonner et tenté de t'oublier

Mais rien n';y fait !

Ne dit on pas « Vouloir oublier quelqu'un 'est y

penser

Davantage » ? A ma grande surprise, je ne peux

que confirmer

J'ai peur de moi, peur de toi,

Depuis quelques temps déjà,

Je pense trop souvent à toi

De façon inavouable

Pardonne la faiblesse de mon coeur

Il a été si souvent meurtri

Qu'il ne sait plus comment agir

Pour avoir droit au bonheur.

Si tu décides de me faire confiance,

Et de me donner une chance,

Je te promets une histoire différente des autres

Oui, une histoire vraiment différente, Bonne fête à toi maman 

Je sais que t'es ma véritable princesse

Et je te demande humblement pardon 

Je me courbe devant toi, ma maîtresse 

Je t'adore, jamais je n'oublierai ton nom.

En écrivant j'oublie le verbe et même

Le rythme des mots qui l'avaient chargé

Mais l'idée secrète, la rime du poème,

Je la retrouve en allant vers ta beauté.

Touchante et merveilleuse la musique,

Mon esprit et mon cœur fondent fort 

Et je bénis le jour où ta main magique

M'a réchauffé et me trouble encore.

Tes beaux yeux allument ma flamme,

J'ai l'impression qu'ils vont me broyer 

Ton regard profond entre dans l'âme

Même en gémissant, je croyais prier.

Du temps que j'étais peu à la page 

En un vieux collège aux livres moisis,

Je vois réapparaître ton joli visage , Bonne fête à toi maman.

Le destin nous a fait nous rencontrer ,

On s'est tout de suite aimé ,

Nos coeurs depuis sont enchaînés ,

L'amour nous a emporté ,

Dans un univers merveilleux ,

Celui des amoureux ! 

je t'aime maman.